Mais pourquoi je n'ai rien vu ?

Ludwig rentra dans son nouvel appartement. Après tout, ça ne faisait pas longtemps qu'il était ici.
Les murs était sobre. Blanc, mais avec des fenêtres bien placer et il y avait quatre pièces.
La première, le salon. Avec une table et des banquettes bois et cuir. Très espacer, agréable.
Il pénétra dans la chambre pour pouvoir allonger Sirius.
Assez grand, le lit prenait beaucoup de place. Il y allongea sa 'princesse'.
A cause de Sirius, il avait galérer pour ouvrir la porte d'entrée et s'était a moiter déplacer l'épaule dans tout ces mouvement pour ne pas lâcher le bel endormis.
Mais rien de grave. Dans une paire d'heure, il n'aurait plus rien.
Il le laissa allonger et passa dans la cuisine préparer quelques chose a grignoter pour le jeune homme quand il se réveillerais.
Un verre de quelques oranges pressées et des gâteaux qu'il avait trouver dans le placard.
Après tout, ce n'était pas encore tout a fait l'heure de manger.
Il alla déposer dans la chambre, sur la table de nuit, le plateau avec la nourriture et alla dans la salle de bain.
Prenant de l'eau au lavabo, il s'aspergea copieusement le visage.
Il ressentait le besoin de se rafraîchir avec l'après-midi qu'il avait passer.
Sirius....
Ludwig se regarda dans la glace...Non mais vraiment...
Puis il retourna dans la chambre pour attendre le réveil de Sirius.
Il s'assit sur la chaise de son bureau, qui était recouvert de feuilles et de livres.
Ludwig aimer lire et écrire et cela ce voyer.
Il y avait même une belle plume d'écriture teint en rouge poser a coter d'un encrier.

C'est ainsi qu'il attendit le réveil de sa bel au bois dormant, assis sur sa chaise, jouant avec la plume qui avait la même couleur que la mèche de Sirius. Sirius qu'il observer en même temps que la plume passer d'un doigt a l'autre.

Sirius un moment plus tard, il se réveilla. Mais il n’ouvrit pas de suite les yeux, c’était une habitude qu’il avait prise chez lui. Si ça mère était déjà lever, il faisait semblant de dormir jusqu’à ce qu’elle parte, et donc il feignait le sommeil. Et la il se dit que c’était bien pratique. Le sol dur, froid et puant avait été remplacer par quelque chose de doux et de chaud, probablement un lit. Ce qui veut dire qu’il avait évidement perdu conscience à cause de cette maudit douleur et que l’autre avait du le porter jusqu’ici. Finalement il ferais mieux de se rendormir et ne jamais plus se réveillé.

C’est vrais, après l’avoir embrasser, voila que l’autre le porter. Ou peut être traîné, ce qui était mieux selon lui, mais il en doutais. Et il ne pourrais pas feindre le sommeille bien longtemps, alors à contre cœur il ouvrit les yeux, observant le super plafond blanc. Vraiment il entendait que l’autre était dans la pièce, ou plutôt un bruit sourd et régulier lui indiquer qu’il n’était pas seul. Et il se demander ce qu’il devait faire, après tous dehors il pouvait courir, enfin non il n’aurais pas pût courir, mais il avait au moins l’espoir d’être dans un lieu « public » ou l’autre ne ferais sûrement rien de plus stupide qu’un de ces dégoûtant baiser.

Il fini par tourner son regard vers l’autre assied dans une chaise, un stylo glissant négligemment entre ces doigts, et bien sur il l’observait. Son regard s’enflama de colère et il avait bien envie de lui dire de regarder ailleurs. Mais il supposait qu’il était chez l’homme, et seul, donc il voudrais mieux ne pas trop le chercher. Vu ce qui c’était passez plutôt, il avait simplement affirmer dire la vériter et l’autre l’embrassait, que se passerais il s’il l’envoyait se faire foutre. Le prendrais il comme une invitation ? Il ne pût empêché un frisson de le parcourir lentement.

Et comme il se sentait un peut bête a ne rien faire d’autre rester la il demanda un peut hargneux, sans que ce qu’il dise n’est un sens :

- Quoi ?

Ludwig regarda Sirius se réveiller lentement puis ouvrir les yeux.
Le jeune homme ne s'en était surement pas rendu compte mais les cinq dernières minute de son sommeil avait été agiter, indiquant a son veilleur qu'il aller bientôt se réveiller.
C'était quand le corps s'était soudain immobiliser que Ludwig avait comprit que son bel endormi avait enfin reprit conscience.
Quelques instants passèrent avant que l'autre ne se décide à ouvrir les yeux.

- Quoi ?

Ludwig retint un sourire pour ne pas vexer Sirius. Il est déjà assez perturber comme ça se dit t-il.

- Rien. Je veille c’est tout.

Il désigna de la main le plateau.

- Est-ce que tu te sens assez bien pour manger un morceau et reprendre des forces ?
Si tu as besoin de te reposer encore un peu, n’hésite pas.

Il regarda Sirius allonger sur son lit et une pensée traversa son esprit.
Un éclair inquiet passa dans ses yeux.

- Je suis conscient d’avoir frappé fort, mais de là a ce que tu tombe évanoui, je ne pense pas.
Ya t-il eu autre chose avant ? Autre chose dont tu voudrais parler ?

Il était sur d’avoir vu le jeune homme porter les mains à son ventre à plusieurs reprise et commençait sérieusement a ce poser des questions.
Surtout que Sirius n’avait pas l’air d’un anorexique. Il avait beau être petit, tous ses muscles et son corps, pour le peu qu’il en n’ai vu, se portait bien.
La pâleur sur ses joues n’était que passagère, c’était visible.
Mais elle était néanmoins présente.
Pas d’anorexie, pas d’assommement.
Pour ce qu’il en savait, il n’y n’avait aucune raison logique à son évanouissement.

- Tu devrait manger, vraiment.

- Rien. Je veille c’est tout.

Sirius avait vue la légère crispation de son visage comme s’il n’avait pas voulue l’agacé, mais pour ça c’était trop tard. Il l’avait été avant de s’endormir, bien sur il s’était évanouie, mais plutôt mourir que de l’avouer. Dans tous les cas, son sommeil passager ne l’avait pas aidé a faire partir son agacement ou si peut. Son ventre le faisait déjà moins souffrir, et c’était plutôt une bonne chose. Mais s’il continué a trop réfléchir il allais se coller un ulcère en plus de l’agacement persistant de s’avoir que l’autre n’avais fait que l’observer -n’avait il fait que ça ?- pendant tous se temps.

Il posa négligemment son regard sur un plateau repas posé sur une table de chevet que lui présenter son « hôte ». Il avait bien envie de lui répondre « oui ? Et alors ? » mais l’autre le devança en lui expliquant calmement qu’il devrais mangé et reprendre des forces, ou bien de se reposer encore. Il supposait que se rendormir serais une option convenable puisqu’il était certain qu’elle énerverai -au moins un peut- l’homme. Mais il n’avais pas vraiment sommeil, ni vraiment faim, mais ça devait être un résidu de l’anesthésie. Il avait toujours était plus sensible a ces choses la, et une faible dose suffisait à l’endormir pour des heures. Il s’avait aussi, que l’estomac était l’organes qui se réveillé en dernier. Mais cela faisait combien de temps qu’il avait quitté l’hôpital ? Qu’il était ici ? Remarque on l’avait assommé, puis il s’était évanouie rien de tels pour mette ton corps en stand by pendant un moment.

Il n’avait pas remarquer le petit éclaire inquiet, qui pendant quelque seconde avait briller dans les yeux de ludwig. Il s’était pour cela un peut trop perdu dans ces pensé, ces pour ça qu’il releva la tête un peut surpris de réentendre l’autre parler.

- Je suis conscient d’avoir frappé fort, mais de là a ce que tu tombe évanoui, je ne pense pas.
Ya t-il eu autre chose avant ? Autre chose dont tu voudrais parler ? Tu devrait manger, vraiment.

Le premier réflexe qu’il avait était de lui balancer un truc a la tête pour lui faire comprendre qu’il n’était pas un faible. Seulement la seul chose a disposition était le plateau et il n’aimé pas gâché la nourriture. A la place il se contenta de dire le ton un peut plus froid qu’il ne l’avait espérer.

- Je n’ai pas l’envie de vous parler, encore moins de se qui me concerne. Vous n‘avez pas frapper trop fort, j‘était simplement fatigué, et je n‘éprouve pas le besoins de mangé.

Il était d’une mauvaise fois a toute épreuve, sans était même probablement flagrant. Mais il n’y accorda pas d’importance. Il essaya simplement de se calmer, il ne fallais pas qu’il oublie ou il se trouvais et ce qu’il risquait…

Alors il reprit plus calmement, avec politesse.

- Néanmoins je vous remercie, et j’apprécierais fortement, si vous me le permettait, de me doucher.

- Tu ne veut pas manger ? Soit. Plus tard surement...

Il sourit doucement. De toute évidence, il avait vexer le gamin.
Ludwig passa outre le fait que Sirius refusait la nourriture, il s'arrangerait pour lui faire avaler quelques choses plus tard.
En revanche le fait que l'autre semble lui cacher quelques chose de légèrement important n'était pas pour lui plaire.
Mais que pouvait il y faire ? Il n'aller pas lui mettre un couteau sous la gorge, cela ne servirait qu'a le braquer encore plus.

- Néanmoins je vous remercie, et j’apprécierais fortement, si vous me le permettait, de me doucher.

Il resta un instant silencieux... Les jeunes d'aujourd'hui n'avait vraiment aucune logique.
D'abord il le prenais pour un imbécile, ensuite il se moquer de lui pour finir par s'évanouir.
Et maintenant une douche ?!!?
Il comprenait très bien le besoin naturel de se laver. Ce qu'il comprenais beaucoup moins en revanche, c'était la façon dont Sirius enchaîner les choses.
Mais pourquoi pas ? Ça fait toujours du bien une bonne douche.

- Il n'y a pas de problème, la salle de bain est de suite a ta gauche quand tu sort. Tu peut prendre ton temps, l'eau et une des rares chose qui n'est pas compter dans cette ville...

Puis il sortit de la chambre pour laisser un peu d'intimité à Sirius et alla se servir a boire dans la cuisine.

- Je suppose que tu n'a pas besoin d'aide hn ? Essaye juste de ne pas t'évanouir cette fois.

Puis il sortit pour de bon en rigolant doucement. Il adorer taquiner le petit.

Assis avec son verre de jus d'orange entre les mains, Ludwig était quand même un peu vexer par le comportement de Sirius a son égard.
Mais il s'en formaliser pas trop, il comprenait que les derniers jours avait du être assez mouvementer pour le jeune homme.
Perdu dans ses pensées, il se remémora ses premiers jours a lui dans la Queer...

Pas forcement très joyeux. Beaucoup de changement et de solitude. Très dur en soit même...

Pour une fois, il était content d'avoir quelqu'un qui réagissait a sa présence et a ses mots.
Même si pour l'instant, ce n'était pas très favorable, cela ne pouvait que s'améliorer hein ?