Leopold De la Croix

Nom : De la Croix

Prénom: Leopold

Age : 28 ans

Nationalité : Autrichienne

Orientation sexuelle : Bi sexuel

Gardien ou simple habitant : Gardien

Date d'entrée dans la Queercity : L’un des premiers à être entré à la Queercity, il est donc là depuis 1 an.

Description physique : Leo est assez grand, il doit mesurer 1m85. Il cache un corps assez frêle sous des vêtements larges, un long manteau de feutre noir qu’il ne quitte presque jamais, par exemple. Son visage, caché en partie par une frange de cheveux fin et blonds, est dure, et malgré son âge, il commence déjà à être marqué de faibles rides dues certainement au « métier » qu’il exerce depuis 1 an, lui infligeant beaucoup de stress. Il ne sourit jamais sincèrement, ou presque, contrairement à quand il était adolescent. Il a de petits yeux noirs, perfides qui ne cessent d’observer tout ce qui l’entoure. Son oreille gauche est percées d’un anneau, souvenir de la période où il se promenait librement au bras de l’homme qu’il aimait.
A sa ceinture, il porte toujours avec une certaine fierté sa cravache et son pistolet. Ayant été l’un des premiers gardiens de la Queercity, il est aujourd’hui assez haut gradé, connu craint et respecter de toute la ville, ou presque…

Description psychologique : Leo est une personne qui fut dans le passé heureuse de vivre. Mais depuis sa rupture, le changement de son caractère a commencé. Son internement à Queercity a finit de le métamorphoser complètement, et aujourd’hui, il est aigrit, agressif, et très violent. Le pouvoir lui a monté à la tête, il ne supporte pas qu’on lui désobéisse, ou pire encore, qu’on lui manque de respect. Il est connu dans la Queercity pour être l’un des gardiens les moins justes : il cogne, humilie et insulte sans raison. Mais quand il en a trouvé une, c’est pire que tout. Il doit être le premier utilisateur de la salle de torture du commissariat. Les habitants comme les gardiens ne l’apprécient que très rarement, il faut dire qu’il fait tout ou presque pour être détesté. Il s’est mot à détester la race humaine, les homosexuels en priorité, bien qu’il en soit lui-même un. Il faut dire qu’il ne s’apprécie pas vraiment non plus… Il n’est pas bien bavard. Quand il parle, c’est principalement pour aboyer un ordre ou une insulte. Il préfère donc rester seul plutôt que d’aller tenter de sympathiser avec d’autres

Histoire : La Famille De la Croix fut jusqu’à la révolution française l’une des grandes familles de France, qui préféra renoncer à son titre plutôt que de finir sur l’échafaud. Depuis, elle a perdu sa fortune, sans pour autant devenir pauvre, pour finir en grande famille bourgeoise, vivant de façon tout à fait correct grâce au commerce. Vers l’année 1820, la famille immigra vers l’Autriche, à cause des tensions politiques entre la France et l’empire germanique, qui devenait de plus en plus inquiétantes. Elle connu alors une petite période de misère, pour ensuite regagner peu à peu sa fortune d’antan.
Leopold naquit alors que la famille vivait de façon moyenne, mais au fur et à mesure qu’il grandissait, les De la Croix s’enrichissaient. Il avait beau grandir en ayant tout ce qu’il voulait sans trop faire d’effort, il s’avéra être un enfant actif, doué, et sympathique. Montrant rapidement un don pour persuader, il fut délégué par son père comme négociateur de leur affaire. Mais avant cela, il lui fallait étudier. Il alla donc à Londres, pour y recevoir l’éducation réputée être la meilleur des pays avoisinants. Il se prit d’amour pour ce pays, au sens propre du terme : Il y rencontra un jeune homme –Anton- et ils vécurent ensemble une véritable idylle, malgré le fait que Leopold doivent souvent rentrer en Autriche.
La famille acceptait totalement le choix du jeune homme. Tant qu’il continuait de travailler sérieusement, il n’y avait à leurs yeux aucun problème. Il y eut cependant une légère tension quand l’homme, à l’âge de 25 ans, décida d’aller vivre définitivement en Angleterre. Durant quelques mois, il n’eut plus aucune nouvelle de ses parents, qui finirent tout de même par pardonner son choix, et ils reprirent contact avec lui.
Leopold était donc aux anges : Il avait un travail stable, bien rémunéré, un train de vie au dessus de la moyenne, un homme qu’il aimait auprès de lui. Ils n’avaient pas honte de leur amour, ils n’hésitaient pas à sortir main dans la main dans la rue, à s’embrasser publiquement, etc.… Le problème c’était que le voisinage n’appréciait pas cela, pas du tout. Mais ils ne pouvaient rien faire contre le jeune couple, qui continuait de les provoquer volontairement.
Mais un jour, Anton annonça à Leopold qu’il le quittait, et il claqua la porte, sans donner aucune raison. Cela se passa aussi vite et soudainement que cela. Leo ne comprit rien… Rien du tout. Il resta plusieurs jours cloitré dans sa chambre, sans rien avaler, totalement abattu. Si au moins il lui avait donné une raison… Mais non, rien.
Ce fut à la même époque que les Queercity firent leur apparition dans les environs de Londres. La police n’avait aucun scrupule a inciter les gens à dénoncer les hommes susceptibles d’être gays, et bien sûr, les voisins de l’homme n’hésitèrent pas à le dénoncer, après tout ce temps qu’ il avait passé à les narguer… Il reçu donc une lettre lui ordonnant de se rendre dans le commissariat le plus proche dans les plus bref délais. Naïf, il s’exécuta. Il ne fut même pas endormi, assommé ou quoi que ce soit d’autre. Il fut conduit de suite, avec une vingtaine d’autres hommes, dans la Queercity. Ils furent les premiers à entrer, et à contempler le camp : vide. On demanda 5 volontaires, personne n’osa se proposer, mais lui, plein d’espoir, et n’ayant a ses yeux rien à perdre, finit par se présenter. Il fut ainsi nommé chef des gardiens de la Queercity.

Autre : Il adore les lasagnes…

Rang éventuel : Canard ^^ !