Arrivé du nouveau gardien... [Pv Leopold]

Gardien en stage Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 06/05/2008

Gaspard du partire de chez lui. On avait découvert qu'il était homosexuel, qu'il torturait ses victimes, qu'il les abusaient, qu'il les violaient et parfois même, il allait jusqu'à les tuers. C'était un des fantasmes de cet homme. Aucune pitier, aucune gêne, aucun remord... cet homme était, selon certaine personne, le diable en personne. Gaspard avait déjà eu quelque relation sexuel avec certain de ses employers, en faite, il en avait abuser certain. Pour lui, il n'y avait aucune règle, aucune limite, aucune lois qui lui était imposer. Il se croyait supérieur de tout les gens qui ne possédait pas un grade de plus que lui. Avec ses supérieur, il était l'employer, le soldat, le garde le plus fidèle, le plus intelligent, le plus méritant et surtout, le plus intéressant que chacun pouvait avoir? Pourquoi? Car lui il exécutait les ordres sans rien dire, sans broncher. Il les menaient toujours à therme, ce qui fesait de lui un des plus vaillant soldat.

Ainsi, par les contactes de son père, il fût envoyer ici, dans cette ville créé pour les hommes ayant une déviance sexuelle. Gaspard avait cru qu'il serait le chef de la ville, grace au pot de vin que son père et son ami avait verser pour cette ville. Mais non, il en avait un plus supérieur que lui et le futur trentenère avait très hâte de voir à quoi ressemblait son patron. Arriver, il devait trainer quelque valise avec lui. Il resta donc la, a attendre car on lui avait dit que le gardine Leopold de la Croix viendrait l'accueillir lui même pour ensuite lui donner sa demeure....

Il y avait quelques inconvénients à être au poste de gardien chef d’une Queercity. Et l’un d’eux était de devoir s’occuper des nouveaux arrivants, qui réclamaient une formation particulière. Comme s’il n’avait que ça à faire ! Il avait une ville à gérer, SA vile. Mais il n’avait pas vraiment le choix, s’il avait le pouvoir de donner des ordres aux hommes à l’intérieur de la ville, il se devait d’obéir à ceux qui venaient de l’extérieur. Aussi, ce matin là, son jour de repos qui plus est, Leo s’était levé à 7h pour pouvoir accueillir ce nouveau venu, sans le moindre entrain. Il devait être à 8h30 sur la grande place. Mais il prit le temps de se laver, de manger, en bref, de se préparer, et il ne fit que partir de chez lui à l’heure où il avait rendez-vous.

Il était habillé de couleurs clairs, si on oubliait son pantalon noir et ses bottes sombres. Il avait une chemise blanche, et par-dessus, un long manteau crème, sal en bas pour n’être pas lavé très souvent. On avait beau avoir des avantages en tant que gardien, la vie n’était pas belle pour autant. Ses cheveux étaient encore légèrement humides, et relâché. A sa ceinture, il portait sa cravache, bien en évidence, et son arme à feu elle était derrière, cachée sous le manteau. Il n’était pas en service, mais si on y repensait bien… Même lors de son jour de repos (un toute les deux semaines, comme les autres gardiens) il continuait à travailler… Il ne pouvait pas sortir et fermer les yeux sur ce qu’il voyait comme infraction aux règles internes de la ville. De plus, vu son statut, il risquait à tout moment de se faire attaquer, il lui fallait donc de quoi se défendre.

Il arriva sur la grande place, il était alors 8h45. Il s’avança vers l’homme, la tête haute. Toute critique concernant son retard serait la mal venue. A ses yeux, il était le chef, il faisait ce qu’il voulait ! Arrivé devant Gaspard, il le toisa un instant, puis, sans un mot, il tendit la main vers lui, attendant que l’autre lui remette le papier officiel qui faisait de lui un gardien. S’il l’avait perdu, oublié ou autre, il ne se gênerait pas pour le flanquer dans un des appartements miteux des habitants. Il jugeait avoir assez de fainéants à ses ordres, qui profitaient des avantagent qu’offrait leur position, sans pour autant le mériter.

Gardien en stage Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 06/05/2008

Gaspard attendit patiament. Il ne pouvait pas se permettre de faire une remarque à son chef. Non... c'était lui qui donnait les ordres et lui qui décidait. Si Leopold décidait d'arriver en retard, alors Gaspard devait le respecter. Il n'était pas ici pour prendre des vacances, mais pour vivre une nouvelle vie et seconder lui aussi le chef de cette ville. Il portait une chemise rouge en cuir qui dénudait entierrement son torse, ce qui dévoilait ses cicatrices. Pour pantalons, c'était du cuir noir, ainsi que ses bottes. Il restait donc la, attendant cet homme...

Il vit l'arriver d'un homme portant une chemise blanche. Il avançait vers l'italient. Il y voyait le signe d'autorité, ce qui poussa le jeue homme à faire de même. Il devait montré qu'il était ici pour le servire, pour ordonner et surveiller les gens. Il pouvait voir aussi sur le visage que cela ne lui fesait pas plaisir d'être la, encore moins Gaspard. Il savait quoi faire, il connaissait son travaille... alors pourquoi l'obliger à suivre un stage? Son père lui avait prévenu que cela était pour l'aider à cacher les nombreux meurtres qu'il avait commit. Il lui donna alors des papiers qui lui avait été ordonner de rendre au patron. Il fini par dire...

-Gaspard Ulliel... pour vous servire... lui dit-il avec le signe militaire. Je suis ici pour vous obéir et faire tout ce que vous me direz de faire...

Leopold le dévisagea des pieds à la tête. Sa tenue était tout sauf réglementaire. Le cuire était extrêmement cher à l’époque, et surtout très mal vu, sans compter l’état de nudité dans le quel il se trouvait. Il voulait apparemment donner la pire impression de lui-même dès le premier jour. Le visage de Leo prit alors un air plus sévère, et il désigna d’un geste sec de la main la veste ouverte du nouvel arrivant pour lui lancer :

-Je ne veux pas voir cela, pas tant que tu seras sous mes ordres. Est-ce clair ?

Il prit sèchement le papier entre ses doigts, pour le parcourir rapidement. Il rajouta ensuite, sans prendre la peine de poser à nouveau les yeux sur lui :

-Je ne dirige pas un camp de vacances.

Quand il eut terminé avec la lettre, et qu’il eu constaté que tout était en ordre, il la rangea dans la poche de son manteau, se disant qu’il l’archiverait une fois au commissariat, et se remit ensuite à toiser Gaspard. Le blond était plus grand de 5 bon centimètres, mais beaucoup moins épais que son nouveau collègue. En revanche, même s’il était âgé de 3 ans de moins, il faisait plus vieux. Leopold avait un rythme de travail éreintant, aussi, son visage était marqué par la fatigue. Ses yeux portaient de lourds cernes noirs, de petites rides dues au stress étaient apparues ici et là. Mais quand on travaillait dans un endroit comme celui là, on se retrouvait forcément dans cet état. Leo lui avait même eu de la chance, il ne s’était pas encore transformé en loque humains contrairement à certains.

-Je vais mettre les points sur les i directement. Ici, nous avons nous quota de fainéants. Alors si tu ne me sers à rien, je te renvoie illico au rang d’habitant simple. Je ne veux pas de pleurnichement, je ne veux pas d’acte de bravoure sous prétexte que notre politique est trop dure, je ne veux rien entendre sur les horaires, sur les tâches qu’on va te confier, etc… Ai-je été clair ?

Les bleus comme on les appelait étaient toujours mal vu parmi les gardiens. Il y avait toujours un temps d’adaptation, qui durait le plus souvent un mois. Après, il y avait trois sortes d’individus, ceux qui se fondaient dans la masse, ceux qui se démarquaient par leur efficacité, et le derniers mourraient… Ils se suicidaient, ou se faisaient exécuter pour une raison quelconque.

Gardien en stage Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 06/05/2008

Gasoard savait fortement à quoi s'attendre avec Leopold. Il ne serait pas le premier à critiquer sur sa façon de se vêtir, mais même si il écoutait ce que ses supérieur lui disait, son apparence, sa, personne ne lui dirait quoi porter, comment se tenir et ainsi de suite. Mais, pour le moment, il écouterait ce que le boss lui demanderait, c'était pourquoi qu'il zippa son manteau, pour lui montré qu'il était sous ses ordres. Mais lorsque De la Croix lui sortie qu'il était pas ici en vacance, il regarda celui si avec des yeux neutre et lui dit.

-Je le sais Chef, commença t-il en frappant le sol comme un militaire, et c'est pourquoi que mon père c'est arranger pour que je puisse venir ici. J'ai été militaire et j'ai travaillé dans la police... je connais le métier Chef...

Gaspard ne perdit pas et ne perdra jamais sa mentalité de militaire, sa façon d'agir, sa façon de se vêtir lorsqu'il travaillait et surtout, il n'était pas une personen qui trainait, qui était en retard ou désordonner. Il put remarqua que Leo le dévisageait, ce qui fit de même. Il pouvait voir que cet homme était plus grand mais qu'il était moins muscler que Gaspard. Il était bien surpris de savoir où cet homme avait pus travailler avant d'arriver ici. Il remarqua que cet homme était marquer par la fatiguer. Zaccarie doutait que cet homme allait sûrement en profiter de son arriver pour prendre quelque congé et donner tout les taches à l'Italien. DÉjà cette pensé le fesait ravire. Il allait montré au peuple qui était le second dirigeant ici... Leopold lui parla donc qu'il ne voulait pas de fénéant, de pleurnichard, d'employer qui ne font que se pleindre, ce qui fit sourire Gaspard.

-Fénéant? Je me lève toujours en même temps que le soleil depuis mes services militaires... pleurnichard? Je n'ai jamais pleurer de ma vie et ce n'est pas demain que je vais le faire... se sont souvent les autres qui le font devant moi pour demander ma pitier... Je me fout des horraires que vous allez me donner. J'accomplirai tout les tâches que vous allez me donner Chef...

Gaspard était l'employer tout rêver que patron voulait avoir. Il exécutait tout, tout, tout, sans poser de question. Aucun remord, aucune pitier, aucun sentiments... rien... Voila comment était Gaspard. C'était à croire qu'il était une machine.

Il haussa un sourcil et prit un air méprisant à l’égard de son interlocuteur. Quand on s’arrangeait pour atterrir ici, ou qu’un proche s’en chargeait à notre place, c’était vraiment qu’on était fêlé ! Qu’on avait une case en moins… Ou bien qu’on n’avait pas encore bien comprit quelle était la vie réelle à l’intérieur des Queercity. Il était vrai que l’Etat laissait quelques rumeurs courir, s’arrangeant pour que celles-ci racontent la vie à l’intérieur de ces villes comme étant paisibles… Histoire que quelques gays en ayant assez de fuir se dénoncent d’eux même.

L’armée, la police… Rien ne pouvait être réellement comparable au métier de gardien en ces lieus. Il fallait perdre toute humanité ou presque. La loi était simple : chacun pour sois. Il y avait deux camps : les gardiens, et les habitants. Les gardiens malgré leurs privilèges payaient eux même chaque fautes commises par les habitants. Il fallait être strict, il fallait se faire obéir. Au moindre relâchement suivait la plus part du temps une émeute, une manifestation, ou autre chose du même genre. Et les exécutions n’étaient alors plus sur les habitants, mais sur les gardiens. Elles étaient gardées secrètes, les détenus ne savaient rien des pressions que subissaient leurs bourreaux. S’ils l’avaient su… Ils s’en seraient certainement servit pour les éliminer un à un…

-Ce n’est pas recevoir des ordres qu’il va falloir t’apprendre alors… Mais à en donner. Ici, il faut être stricte, oublie tout ce que ta maman t’a apprit au sujet de la bonté humaine…. Ici, ça n’existe plus depuis longtemps…

Il allait être cassant. Oui, il était toujours ainsi avec les nouveaux arrivants. Il détruisait tout leurs arguments. Il voulait bien leur faire comprendre qu’ils étaient maintenant dans un monde auxiliaire. Ils pouvaient oublier tout ce qu’ils avaient apprit ici et ailleurs. Quand on entrait dans la Queercity, on renaissait, dans les camps des faibles, ou bien dans l’autre… Et il fallait réapprendre à vivre, à parler, à se comporter, car tout changeait du tout au tout, suivant la personne avec qui l’on se trouvait.

-Il va falloir te lever avant le soleil à présent… Nous verrons tes horaires une fois au post, ils seront variables. Un emploi du temps est affiché chaque semaine, mais vérifie tout les matins s’il n’y a pas modification. Ah, il se peut aussi que tu commences en service de nuit, c’est une autre histoire ça…

Il commença alors à marcher, lui faisant un signe de main pour qu’il le suivre. Il l’emmenait directement au post. Il irait chez lui après sa journée de travail, comme tout le monde. Il n’aurait qu’à se trouver un autre mentor pour aujourd’hui. Pour Leo, c’était son jour de repos, et il y tenait ! Il avait déjà du se lever pour venir l’accueillir… Cela n’arrangeait rie à son humeur.

-Je te laisserai au post, tu règleras les détails administratifs là bas, ce n’est pas mon affaire… Des questions ?

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